Pour un 1er Mai de Rassemblement
Posté le 28 Avril 2012
Mardi 1er mai 2012
à l’occasion de la Fête du Travail
* ISSOUDUN *
Boulevard Roosevelt, Espace Mendès France si beau temps
ou Centre des Congrès Champs Elysées si mauvais temps
1er tour de la Présidentielle : réaction d'André Laignel
Posté le 23 Avril 2012
Le résultat du premier tour de la Présidentielle manifeste l’extraordinaire rejet du Président sortant, devancé par François Hollande.
Notre pays a besoin de Changement
Posté le 18 Avril 2012
Madame, Monsieur,
Avenir et enjeux pour nos communes
Posté le 23 Mars 2012
"30ème anniversaire des lois de décentralisation dans le débat public : quelles propositions pour l'avenir de nos communes ?"
Toutes les mémoires auront le "droit de Cité" au Centre de la Mémoire
Posté le 16 Mars 2012
Les travaux du Centre de la Mémoire ont débuté en février, après la période de grand froid. Ils dureront un an.
C’est l’avenir de nos enfants qu’on sacrifie !
Posté le 16 Mars 2012
Demain, samedi 17 avril, je serai aux cotés des enfants d’Issoudun, de leurs parents et de leurs enseignants pour refuser la suppression de 11 postes dans les établissements publics de notre ville.
Je donne donc rendez-vous à tous les citoyens d’Issoudun, jeunes, familles, enseignants, élus … à l’Ecole Jean Jaurès à partir de 10 h. Car il ne s’agit plus, là, d’une nouvelle saignée, encore plus franche. C’est bien plus grave ! Ce qui est programmé, c’est bel et bien une fracture de l’égalité des chances, une dégradation du service public d’éducation pour tous.
Demain matin, les parents d’élèves, soutenus, je n’en doute pas, par bon nombre d’Issoldunois, procèderont à l’enterrement symbolique de l’école maternelle Jean Jaurès. Un convoi mortuaire rejoindra en fin de matinée le cimetière d’Issoudun.
Cette mise à mort de l’avenir de nos enfants, c’est bien entendu le résultat d’une politique gouvernementale soutenue par les députés et sénateurs locaux de droite qui ont voté pour 2012 la suppression de 413 postes dans l’Education nationale en région Centre, après les 400 déjà disparus à la rentrée de 2011.